• Kashink

    Si Kashink porte au quotidien une fine moustache dessinée au crayon noir, c’est qu’elle est attirée par l‘esthétique du carnaval. Comme un questionnement sur les masques sociaux que nous portons.

    Kashink ? C’est l’une des rares femmes très active dans l’art urbain. Elle adore Paris et travaille dans ses rues depuis 2001, puisant son inspiration dans l’humain et faisant de l’égalité des droits et de la diversité son cheval de bataille.

    Elle réalise ainsi des fresques pop et décalées où figurent d’immenses personnages à quatre yeux, à Paris mais aussi à l’étranger car elle voyage beaucoup. Ses « 50 cakes of gay », en soutien au mariage pour tous, lui valent d’être invitée à Miami Art Basel en 2013. Puis, en 2015, elle collabore avec Amnesty pour la campagne « My body, my rights ». C’est aussi l’année de son installation géante au théâtre de l’Européen, avec costumes, céramiques, food art, vidéo… où elle invite le public à participer.

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